Publié le 29 avr. 2023 à 14:00Mis à jour le 29 avr. 2023 à 19:54
A Ginza, l’histoire s’écrit depuis l’époque d’Edo, là même où ce quartier devint le berceau de l’Hôtel de la monnaie. Depuis, partout y fleurissent boutiques de luxe, bureaux d’affaires et repaires chic, dont, non loin de là, la dernière adresse du joaillier Bulgari.
L’Hôtel « Bulgari » à Tokyo se situe au 45e étage d’un gratte-ciel. © DR
Du 40e au 45e étage d’un imposant gratte-ciel, on découvre depuis le début du mois la huitième incursion de Bulgari dans le secteur de l’hôtellerie, après Paris, Milan ou Dubaï. Un choix stratégique pour la maison romaine, ayant choisi de faire de ses établissements cinq étoiles, un symbole de prestige autant qu’une porte d’entrée vers son univers. Le fil rouge de chacune des adresses ? Un faible nombre de clés – ici 98, dont une suite de 400 m2 -, auquel s’ajoutent des emplacements choisis pour être des destinations culturelles et professionnelles. Il aura fallu près de vingt ans au groupe pour dénicher ce lieu, surplombant l’effervescente station centrale, à dix minutes à pied des cerisiers japonais et du palais impérial.
Chambres baignées de lumière à l’Hôtel « Bulgari » à Tokyo.© DR
Cette nouvelle adresse Bulgari joue la fusion des cultures. Dans les chambres baignées de lumière, jouissant d’une vue plongeante sur la ville, on y ressent le travail précieux sur le bois, les tissus, jouant des artisanats millénaires de l’Italie et du Japon. A l’atmosphère feutrée, à la sophistication nipponne se mêle du mobilier venant de la Botte, signé des éditeurs Maxalto ou B & B Italia et choisis par le studio d’architecture milanais Antonio Citterio Patricia Viel, fidèle de la maison. Un dialogue culturel se déclinant tout naturellement dans l’assiette : deux chefs étoilés y ont dressé leurs tables, du maître sushi Kenji Gyoten au cuisinier originaire de la péninsule, Niko Romito, dont il faut absolument goûter, si vous êtes de passage, les pâtes faites maison. Mais, au-delà de ce mariage des savoir-faire, l’hôtel tient sa singularité de ses espaces monumentaux, de son bar à la terrasse généreuse et au spa de 1000 m2, puisant son esthétique dans les motifs des thermes romains de Caracalla, ceux-là mêmes qui ont inspiré à la marque des créations joaillières. Comme pour signifier que le coeur de métier n’est jamais loin, peu importe l’écrin.
Combien : 98 chambres, dont une suite, à partir de 1500 € environ la nuit.
C’est où : 2-2-1 Yaesu, Chuo-ku, Japon.
L’hôtel est une porte d’entrée dans l’univers du joaillier.© DR
La terrasse au 45e étage.© DR
Au rez-de-chaussée de l’hôtel.© DR
Au spa. © DR
Dans la suite.© DR
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