L’an dernier, Jean Dinh Van disparaissait. Fondateur de la marque qui portait son nom, lancée en 1965, le joaillier avait fait ses armes chez Cartier avant de tracer sa propre route.
Sa matière de prédilection : l’or, qu’il travaille de ses mains pour inventer une nouvelle modernité.
À l’époque, les femmes portent les minijupes de Courrèges, Yves Saint Laurent crée le prêt-à-porter de couturier et Dinh Van, inspiré par cette liberté de ton, décide de proposer des bijoux quotidiens.
Grâce à lui, la joaillerie, simplifiée et épurée, sort du coffre.
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Lorsque la collection Pulse sort en 2017, Jean Dinh Van n’est plus aux commandes de sa marque.
Mais son héritage est bien vivant : des lignes architecturées, des traits finement ciselés et des formes ajourées qui donnent aux bijoux un rythme contemporain.
Vidéo du jour :
Ponctuée de diamants qui marquent la cadence, les bijoux Pulse évoquent les notes de musique qui courent sur une partition.
Déclinées en or jaune, blanc et rose, les pièces de la collection sont volontairement mixtes, anticipant le déferlement de la révolution genderless.
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Pour continuer de faire battre le cœur de cette collection à succès, Dinh Van imagine aujourd’hui de nouvelles pièces.
Le collier sur chaîne de forçat porte un pendentif mobile qui revisite le volume cylindrique, un des codes de la maison Dinh Van.
Au poignet, des modèles plus fins de bracelets invitent au stacking (accumulations) en mélangeant les couleurs d’or ou en les mixant avec d’autres collections emblématiques du joaillier comme Serrure ou Le Cube Diamant.
Pour terminer la partition, le clip d’oreille équipé d’un fermoir ingénieux vient se poser en solo.
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